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Futebol – Brésil

9 Février 2001

Après 1 mois et demi, l’Argentine nous quitte, mais cette au revoir va rester dans notre mémoire pour longtemps.
C’est en effet à Foz de Iguacu que nous passons la frontière, et qu’est qu’il y a la-bas ??? les célèbres chutes de l’Iguacu.
Nous découvrons d’abord le côté Argentin, qui se trouve en bas des chutes et demande 2 heures de marche.
Un petit problème de visa à la frontière fait que Corinne se retrouve interdit de séjour en Argentine. Puis nous découvrons Puerto Iguacu.
Notre problème en arrivant au Brésil est essentiellement lié à ce que raconte le Lonely Planet et à l’attention que l’on y porte habituellement : notre bible raconte « attention cette ville est dangereuse » « n’allez pas ici » « ne faite pas ça » etc… Tout cela crée chez nous une sorte de paranoïa, puis on apprend à se détacher peu à peu de la secte Lonely Planet, on fini par ne plus consulter et par vivre pleinement ce superbe pays qu’est le Brésil
Nous découvrons avec plaisir Curitiba (Curitchiba), une ville importante du sud Brésilien. Tout le charme brésilien est ici : les quartiers colorés, la musique, etc… Un grand classique au départ de Curitiba est le « Train… » une ballade sympathique mais qui n’a rien d’extraordinaire (contrairement à ce que dit la Lonely Sect).
Un bus nous amène à San Paolo : 20 millions de personnes vivent ici, des blocs de bétons à perte de vue, ce qui donne tout son sens au mot ENORME. Il faut savoir que plus d’un millions de Japonais ont immigré à San Paolo au 18e siècle, ce qui explique cette importante diversité ethnique. Par affinité nous choisissons de nous installer dans le quartier Japonais. Ce qui est à la fois amusant et impressionnant, c’est le melting pot Brésiliens : on croise des noirs avec des têtes de blancs, des blancs avec des cheveux de noirs, des asiatiques avec des tête de noirs, bref il nous semble que le Brésil c’est un peu la tour de babel, sauf que ici c’est une réussite.
Impatient de découvrir le mythe, nous sautons dans un bus pour Rio.
Cette première vue sur le Pain de Sucre est une étincelle de bonheur
Le LP dit allez à Catete, alors nous allons dans le quartier de Catete. Le 1er hôtel est bondé de Backpakers qui traînent de partout, cette ambiance un peu écrasante nous fait fuir, nous atterrissons dans un petite rue plus calme et plus conviviale.
Nous ne tardons pas à rencontrer Antoine, un CSN en poste à Rio, qui nous fait visiter le quartier de Copacabana (Merci Antoine, en souvenir des Jus de Coco sur Copacabana)
(à suivre)

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9 Février 2001

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